Taking Ourselves Seriously and Getting It Right is written in a manner that is accessible to all. Frankfurt’s arguments are, as usual, clear and persuasive. Korsgaard’s, Bratman’s, and Dan-Cohen’s comments are thought provoking. There are, however, two main areas in which Frankfurt’s arguments need clarification (the notion of wholehearted identification, and the concept of ambivalence), and there are misunderstandings of Frankfurt at work in Korsgaard’s (relationship between the self and the will, and concept of the will for Frankfurt) and Bratman’s (...) (meaning of "necessity" for Frankfurt) comments. (shrink)

Cet article porte sur l'amitié et la piété filiale dans le néo-confucianisme de l’époque Ming, notamment dans l’enseignement de Wang Yangming. J’avance que les jianghui cultivant la pensée de Yangming offrirent un environnement social idéal pour ennoblir l’amitié. On considérait la véritable amitié comme un vecteur de perfectionnement moral et le moyen de réduire le risque de subjectivisme dans la philosophie inspirée de Yangming. Je reconsidère également la question de savoir si les néo-confucianistes de l’époque Ming ont contesté l’ordre des (...) cinq relations cardinales en faisant de l’amitié la plus importante d’entre elles. À travers l’examen approfondi de la piété filiale dans la culture impériale et l’enseignement de Yangming, je souligne que la piété filiale ne constituait pas seulement la base de l’ordre socio-politique, mais aussi l’essence du vrai moi. L’amitié tire son importance de sa capacité à nous aider sur la voie du perfectionnement moral et de l’amélioration de soi. Néanmoins, elle n’a jamais pu surpasser l’importance que revêt la piété filiale et elle ne vint que compléter l’éthique familiale. (shrink)

Cet article porte sur l'amitié et la piété filiale dans le néo-confucianisme de l’époque Ming, notamment dans l’enseignement de Wang Yangming. J’avance que les jianghui cultivant la pensée de Yangming offrirent un environnement social idéal pour ennoblir l’amitié. On considérait la véritable amitié comme un vecteur de perfectionnement moral et le moyen de réduire le risque de subjectivisme dans la philosophie inspirée de Yangming. Je reconsidère également la question de savoir si les néo-confucianistes de l’époque Ming ont contesté l’ordre des (...) cinq relations cardinales en faisant de l’amitié la plus importante d’entre elles. À travers l’examen approfondi de la piété filiale dans la culture impériale et l’enseignement de Yangming, je souligne que la piété filiale ne constituait pas seulement la base de l’ordre socio-politique, mais aussi l’essence du vrai moi. L’amitié tire son importance de sa capacité à nous aider sur la voie du perfectionnement moral et de l’amélioration de soi. Néanmoins, elle n’a jamais pu surpasser l’importance que revêt la piété filiale et elle ne vint que compléter l’éthique familiale. (shrink)

This book is available either individually, or as part of the specially-priced Arguments of the Philosphers Collection.

The central issue is that of identifying and understanding the fundamental principles of morality but the book also discusses the place of rules in moral thought, the nature of obligation, the relation between morality and religion and that of being moral and rational.